Où regarder le foot (soccer) à Montréal
Montréal est bien sûr une ville de hockey avec une équipe qui a un riche héritage, mais le soccer — ou foot pour le reste du monde — occupe une place de plus en plus importante sur la scène locale. Les vagues d’immigrants venus d’Europe et d’Amérique du Sud ont notamment apporté leur enthousiasme pour le ballon rond et de nombreux bars de la métropole ont entendu les chants des supporteurs et supportrices; ont donc éclos un peu partout dans les bars de notre ville de grands écrans de télévision qui, du 1er janvier au 31 décembre, diffusent ce qui se passe de mieux au royaume du ballon rond.
Voici quelques adresses que nous aimons beaucoup et qui nous sont très chaudement recommandées par lectrices et lecteurs pour aller encourager votre ou vos équipes préférées.
Adresses où regarder le foot (soccer) à Montréal
Bar Vivar
533, avenue Duluth Est
Deux anciens de Joe Beef, le chef-propriétaire Georges Greiche en cuisine et son ami Patrick Oakes en salle, font équipe au Bar Vivar. La salle d’une quarantaine de places est divisée en deux espaces avec une section bar avec tables hautes à l’avant où vous pouvez écouter le foot.
Double’s Late Night
5171 avenue du Parc
On vient au Double’s Late Night pour un apéro lors d’une soirée pluvieuse, pour savourer un bon burger, jouer au billard, finir une soirée bien arrosée ou pour regarder un match de foot dans un endroit plaisant!
Taverne du Pelican
278 avenue Laurier
La Taverne du Pelican est une taverne comme on l’entend : lieu rustique où l’on sert à boire. L’ambiance y est décontractée et tout le monde est le bienvenu. Le bar est sans prétention, et sert bières et vins à tout petits prix.
Champs
3956, boulevard Saint-Laurent
À l’année longue, Champs accueille les amateurs de sports de toutes sortes et notamment bien sûr de soccer. Une bonne douzaine d’écrans devraient suffire à satisfaire les amateurs de soccer pendant la Coupe du monde 2022.
L’Barouf
4171, rue Saint-Denis
Haut-lieu de la faune footbalistique française, de 13 h 30 à 3 h 00, du lundi au dimanche, ce bar résonne du chant du coq à chaque but marqué par “les Bleus”.
Club Social
180, rue Saint-Viateur
Ici , on parle autant de soccer que de foot et on trouve un joli mélange de supporteurs sud-américains, italiens, portugais, anglais ou français. Selon les résultats, les chants se déclenchent toujours dans la bonne humeur.
Burgundy Lion
2496, rue Notre Dame Ouest
Chez ce lion bourguignon anglo, tout en éclusant une pinte ou deux, il est fortement conseillé d’encourager l’équipe d’Angleterre lors des tournois internationaux. Le reste du temps, c’est de préférence Chelsea, Arsenal, Manchester, Liverpool.
Bishop & Bagg
52, rue St-Viateur Ouest
Comme on se trouve dans le Mile End, la foule des supporteurs locaux est assez bigarrée, même si les encouragements pour le 11 anglais ou le 11 montréalais sont au-dessus des décibels normaux.
Caffè Italia
6840, boulevard Saint-Laurent
À la tête de cette icône de la Petite-Italie, la 4e génération de proprios continue d’accueillir les clients avec enthousiasme et, lors des compétitions internationales de foot, met à leur disposition des écrans très tricolores; vert, blanc et rouge, évidemment
Caffè San Simeon
39, rue Dante
Lorsque la “Squadra Azura”, l’équipe italienne de soccer, participe à un tournoi, la strictement incontournable trilogie locale est le vert, blanc et rouge et les discussions, très animées, sont majoritairement en italien.
Bruno Sport Bar
313, rue Beaubien Est
À voir les attroupements sur le trottoir devant les vitrines de ce Bruno-ci, on peut se douter qu’il se passe quelque chose d’important. En se mêlant à la foule joyeuse, on sait que le ballon rond est à l’honneur sur tous les écrans à l’intérieur et que l’enthousiasme est justifié dès lors que l’équipe préférée de la majorité gagne.
Pub Saint-Pierre
410, rue Saint-Pierre
Un pub, un restaurant, un bar, 7 jours sur 7, cette maison se distingue par sa chaleur et, pendant toutes les compétitions de soccer, Coupe du monde 2022 incluse, accueille des supporteurs de partout.
Écrit par Jean-Philippe Tastet