- 47 j’aime
Butterblume : Fraîcheur et délicatesse dans le Mile End
Le Butterblume
- $$
- Réservation avec Libro
-
5836 Boulevard Saint-Laurent Montréal H2T 1T3
+1 514-903-9115 -
Lundi: Fermé
Mardi: 11:00 AM – 3:00 PM
Mercredi: 11:00 AM – 3:00 PM
Jeudi: 11:00 AM – 3:00 PM
Vendredi: 10:00 AM – 4:00 PM
Samedi: 10:00 AM – 4:00 PM
Dimanche: Fermé
- Restaurant Café Boulangerie épicerie Comptoir
Situé à la jonction du Mile End et de la Petite-Italie, le Butterblume est depuis toujours l’une de nos adresses favorites en ville.
On aime Butterblume pour plein de raisons
D’abord bien sûr pour sa cuisine bien sûr mais aussi pour des raisons pouvant paraître fantaisistes, mais seulement paraître. Par exemple, Butterblume est voisin immédiat de La Maison de l’aspirateur et si vous avez un de ces appareils chez vous qui tombe en panne vous serez heureux de savoir qu’à cette adresse vous serez conseillés, aidés et rassurés. Ensuite, accessoirement, vous aurez suffisamment économisé pour vous offrir un repas chez Butterblume.
On aime aussi cette maison pour le travail si délicat accordé par son personnel à toute la clientèle — mention spéciale à Stéphane, une sorte de légende vivante malgré son âge — ainsi que pour ce décor qui donne envie de célébrer là son mariage.
Vous aimerez, vous aussi, Butterblume car les gens qui travaillent là, savent écouter leurs clientes et clients. Quand lors d’un souper, ces dernières et derniers leur disent et redisent que « c’est vraiment dommage que vous ne soyez plus ouvert le midi et surtout pour le brunch », on peut voir les choses évoluer rapidement. Ainsi, dès le printemps 2024, fin des repas en soirée et réapparition des lunchs et brunchs au Butterblume !
Gourmandes et gourmands sont toujours comblé.e.s
Depuis son ouverture en 2016, la cuisine du Butterblume est raffinée sans être précieuse. Les plats de l’adresse sont délicats et d’une subtilité agréablement surprenante. On parle ici d’une cuisine fraîche et de saison. Les raviolis allemands maultasche sont sur les ardoises du repas de midi et du brunch. De plus, vous retrouverez les fameuses tartines à l’aubergine, poivrons grillés, œuf poché, crème « tonnato », coppa et roquette du Butterblume à l’heure du lunch.
« Les menus du midi et du brunch se ressemblent beaucoup. En tout temps, on peut venir au Butterblume pour une petite bouchée, comme pour un dîner un peu plus copieux, tout dépend de notre envie », précise Julie Romano, l’une des copropriétaires. Du vendredi au dimanche, vous pourrez vous gâter avec des choses si délicieuses qu’elles frisent la décadence, Brioche au citron, crème sure à l’aneth ou Feuilleté, saumon confit, œuf poché, crémeux fromage de chèvre, laitue, betteraves marinées et fines herbes.
Nadine Boudreau, l’autre fondatrice du Butterblume parle en bien de Charlotte Maurin, la nouvelle cheffe. « Depuis son arrivée, Charlotte veille à respecter nos plats phares et, tout en apportant sa fraîcheur, son enthousiasme et sa créativité, elle va fouiller dans nos archives pour y trouver des suggestions appétissantes.»
Donc, on lunche chez Butterblume du mardi au jeudi et on y brunche de 10 h à 16 h les vendredi, samedi et dimanche. Excellent appétit !
L’épicerie Butterblume
Vous trouverez à la porte voisine de celle du restaurant le Butterblume Épicerie. Dans cette épicerie-boutique, vous trouverez des légumes de saison, de délicieux plats pour emporter, des fleurs et divers autres objets choisis méticuleusement par les propriétaires. « La boutique propose des petites attentions et des cadeaux que nous aimerions recevoir ou nous faire à nous-mêmes», explique l’une des deux sympathiques copropriétaires. L’épicerie est ouverte du mardi au vendredi, de 11 h à 18 h, ainsi que le samedi et le dimanche, de 10 h à 17 h.
Si vous aviez coutume de commander votre café pour emporter et d’acheter vos pâtisseries à l’adresse principale du Butterblume, sachez que tout ceci vous attend également du côté épicerie. On y trouve aussi une belle sélection de bières et de vins locaux, des plats à emporter et des produits maraîchers en saison.
Écrit par Jean-Philippe Tastet