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Myriade de la rue St-Denis : petit havre de paix sur le Plateau

Café Myriade de la rue St-Denis
  • Café Myriade

  • $
  • 4627 Rue Saint-Denis Montréal H2J 2L4
    (514) 940-0444
  • Lundi: 7:30 AM – 6:00 PM
    Mardi: 7:30 AM – 6:00 PM
    Mercredi: 7:30 AM – 6:00 PM
    Jeudi: 7:30 AM – 6:00 PM
    Vendredi: 7:30 AM – 6:00 PM
    Samedi: 8:00 AM – 6:00 PM
    Dimanche: 8:00 AM – 6:00 PM
  • Café

Bien qu’il ait pignon sur la très achalandée artère du Plateau, on pourrait croire que le café Myriade de la rue St-Denis a été créé pour offrir aux locaux un point de ralliement en marge du train-train quotidien. Peut-être est-ce sa jolie terrasse ensoleillée ou l’étroitesse de son local décoré avec charme qui donne à ce café Myriade, troisième des cinq, un petit plus.

Faisant face à la piste cyclable aménagée sur St-Denis, le café Myriade est presque toujours bondé. Malgré cela, l’ambiance y est décontractée et calme. On prend place à l’une des tables communes sur de longs bancs en bois, entre les clients venus y étudier ou y travailler, ou encore sur des tabourets, attablé à de petits comptoirs.

On savoure au café Myriade de la rue St-Denis un très bon café issu de torréfacteurs indépendants, dont 49th Parallel Roasters. En plus de la qualité des grains utilisés, le Myriade mise sur des laits savoureux et biologiques comme le lait Henrietta, sans additif provenant de vaches du Saguenay-Lac-Saint-Jean, et des laits alternatifs haut de gamme qui garantissent une mousse parfaite. Ici, la grande majorité des produits de boulangerie sont faits maison ou proviennent de boulangeries locales. Le gâteau au carottes y est particulièrement décadent!

L’adresse est fréquentée aussi bien des locaux pour travailler que des visiteurs venus se ravitailler avec un café et une pâtisserie maison entre deux séances de magasinage.

Le café Myriade de la rue St-Denis est un arrêt obligatoire si vous êtes de passage dans le quartier. Le personnel y est toujours sympathique, et le café de qualité est fraîchement moulu.


Photographié par Alison Slattery





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