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Trou de beigne : succulents beignes de Montréal

  • Trou de beigne

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  • 156 Rue Saint-Zotique East Montréal H2S 1K8
    (514) 701-3735
  • Lundi: Fermé
    Mardi: 9:00 AM – 5:00 PM
    Mercredi: 9:00 AM – 5:00 PM
    Jeudi: 9:00 AM – 5:00 PM
    Vendredi: 9:00 AM – 5:00 PM
    Samedi: 9:00 AM – 5:00 PM
    Dimanche: 9:00 AM – 5:00 PM
    • Propriétaire(s) Giuliano Ciccocioppo
    • Date d’ouverture 2016
    • Accepte mastercard, visa, cash, debit
    • 9 Places assises
    • Est accessible
  • Pâtisserie Comptoir

Trou de beigne est un délicieux magasin de beigne situé sur la rue Saint-Zotique dont les confections artisanales sauront plaire aux amateurs de saveurs et de sucré!

Dans son petit local de la rue Saint-Zotique, Trou de beigne créé parmi les meilleurs beignes de Montréal. L’histoire du Trou de Beigne remonte à 2013, lorsque son propriétaire, Giuliano Ciccocioppo, faisait ses délicieux beignes et les livrait à divers clients sur l’île. En janvier 2016, il a décidé d’ouvrir un local afin d’offrir ses beignes dans un lieu physique. Fier de son identité québécoise, l’identité visuelle du Trou de beigne s’inspire des emblèmes de la province : l’indicatif régional de Montréal (514), est ici représenté en chiffre romain du logo, au-dessus d’une tête d’harfang des neiges, l’oiseau emblématique de notre belle province. «En plus, je pouvais cacher des beignes dans les yeux du harfang sans que ça n’est l’air trop évident!» Avec deux grands beignes jaunes pour les yeux, le harfang du Trou de beigne vous invite donc à déguster ses délicieux beignes.

Le local du Trou de beigne est assez petit en superficie — 9 places assises, dont deux dans les yeux mêmes du hiboux — petit clin d’oeil à “hole in the wall“, “trou dans le mur”, “trou de beigne”. En entrant dans le local du Trou de beigne, on est accueilli par la jolie muraille du harfang des neiges sur fond noir, avec deux cavités pratiquées au niveau des yeux. Devant la grande baie vitrée se trouve une petite table à hauteur de bar, où l’on peut observer les passants tout en dégustant son beigne. Au fond du magasin, l’on trouve la caisse ainsi que le présentoir où l’on peut voir toutes les délicieuses variétés de beignes de l’endroit. Malgré la petitesse de l’endroit, on ne s’y sent pas coincé. Au contraire, la configuration de l’espace donne une impression de grandeur au local. Le décor de celui a été pensé par Giuliano, avec l’aide de l’étudiante de design Mila Broomberg.

Trou de beigne offre à ses clients une variété de neuf beignes en magasin. Chacun sont offert en deux tailles; le beigne standard et le format «scout», soit plus petit. Vous trouverez ici le beigne aux bleuets et chocolat noir, le bourbon et limonade, le pâte à biscuit, le thé vert matcha, le noix de coco et lime, le mangue et fruit de la passion, le blizzard — chocolat blanc et oreo —, le beigne au s’mores et finalement, le classique, un beigne nature roulé dans un mélange de sucre brun, cannelle et muscade. Le beigne blizzard et pâte à biscuit sont parmi les favoris des clients. Nous, on a un faible pour le pâte à biscuit et le thé vert matcha, alors que Giuliano a un faible pour le beigne au s’mores. Trou de beigne offre aussi trois de ses beignes, le bleuet et chocolat noir, le classique et l’unique beigne à l’érable en options vegan — notez que pour les vegan, il faut passer une commande de douze beignes minimum et à l’avance. Vous pouvez commander les beignes par téléphone, l’endroit effectue aussi la livraison.

Les beignes du Trou de beigne sont artisanaux et fait selon la recette de Giuliano chaque matin, frais du jour. Dans cette optique, le magasin produit une quantité certaine de beignes tous les matins ! Pas de surplus pendant la journée; premier arrivé, premier servi. De cette façon, le magasin assure la qualité et la fraîcheur qui est devenue synonyme de l’endroit.

Giuliano nous dis aimer de l’endroit non seulement faire ses beignes, mais aussi l’aspect entrepreneuriat et pouvoir servir au gens le meilleur produit possible. Nous, on aime surtout déguster leurs succulents beignes!


Photographié par Alison Slattery —





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